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Oscar
Cookie
A l'heure des polémiques religieuses, ça fait du bien d'entendre ça.
Parce que la paix n'a pas de religion.
Et que la religion ne doit être qu'Amour.
Khalis, musulman, le dit tellement mieux que moi.
Comme quoi...
Une découverte : Khalis.
Des mots, une gueule, des sentiments...
Le premier titre que je vous propose est : "Maman".
Inutile d'en dire plus : ses mots suffisent.
On y reviendra.
Lorsque les nazis sont venus chercher les communistes
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas communiste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les sociaux-démocrates
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas social-démocrate.
Lorsqu'ils sont venus chercher les syndicalistes
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas syndicaliste.
Lorsqu'ils sont venus chercher les catholiques
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas catholique.
Lorsqu'ils sont venus
chercher les juifs
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas juif.
Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne pour protester.
Martin Niemöller (1892 - 1984)
Pasteur allemand qui fut arrêté en 1937 puis envoyé dans les camps de concentration. A la chute du nazisme, il fut libéré en 1941.
En fait, dans ces quelques mots, tout est dit.
Le temps, les époques et les évènements n'y changeront jamais rien.
Ne soyons jamais indifférents au malheur des autres.
Nous sommes tous concernés par tous.
Toujours.
La vie n'est qu'un fil qui nous relie tous.
Chaque jour.
Chacun tient dans ses mains le destin de l'autre.
Donc le sien aussi à travers celui des autres.
Nous sommes un.
Le temps, les époques et les évènements n'y changeront jamais rien.
Ainsi, ne soyons pas non plus indifférents au bonheur des autres.
Il est aussi notre destin.
Illustration trouvée sur internet - Auteur inconnu
Il était une fois un pays
Partout on disait là-bas
La tolérance est un esprit
Et la liberté un droit
Il représentait les lumières
Un presque phare dans la nuit
Pour bien des exclus un repère
L'endroit où refaire sa vie
Jusqu'au jour où certains assurent que nos frontières sont des passoires
Et que nos galères viennent, c'est sûr, des Rouges, des Jaunes et des Noirs.
Ne me parlez pas de couleurs
Donnez-moi une autre excuse
Si les différences vous font peur
Trouvez d'autres subterfuges
Pour dire "non"
Drôle de France que celle qui rejette
Qui condamne a priori
Délit d'opinion ou de tête
Et par devant on sourit
A croire que deux poids deux mesures
Et de cultures et de mémoires
Comme si oubliées les blessures
Et les erreurs de l'Histoire
Ne me parlez pas de couleurs
De religion et de drapeau
Et si "métissage" vous fait peur
Moi j'ai un faible pour le mot
Ne me parlez pas de couleurs
Donnez-moi une autre excuse
Si les différences vous font peur
Trouvez d'autres subterfuges
Mais ne me parlez pas de couleurs
De religion, de drapeau
Et si le métissage vous fait peur
Moi j'ai un faible pour le mot
Mais ne me parlez pas de couleurs
Donnez moi une autre excuse
Si les différences vous font peur
Trouvez d'autres subterfuges
Mais ne me parlez pas de couleurs
Nicolas Peyrac
Album "Vice Versa" - 2006 - Warner
J'aime beaucoup cette chanson et ceux qui me connaissent le comprendront aisément. La chanson de Nicolas Peyrac me touche tant dans son texte que dans son interprétation et son orchestration. J'aurais aime vous la faire entendre, voire même découvrir, mais je n'ai pas trouvé de document me permettant de vous proposer cette chanson par son auteur.
Cependant, j'ai eu l'agréable surprise de voir que ce titre a été repris par Lionel Bernier, que je ne connaissais pas, et mis en images par "Nel & Friends". Je ne peux m'empêcher de m'en servir pour illustrer à merveille le texte de Monsieur Peyrac. Regardez ses images et, oui, parlez moi de couleurs. Mais pas ainsi. Je vous en prie.
Je m’envole et je deviens silence,
Je deviens toi quand tu penses.
Je décolle et je m’élance,
Je deviens Tout et l’Immense.
Mon corps à son âme se rend
Et je n’ai plus de sang.
Puis, tourment d’un instant,
Je ne suis plus dedans.
Et je tourne,
Et je tourne,
Je suis le tout de Rien.
Et je tourne,
Et je tourne,
Je suis le rien de Tout.
Malgré mes certitudes, je n’étais pas certain.
La peur, mes turpitudes gagnaient du terrain.
Et soudain…
Je m’envole et je me vois petit.
Je deviens Moi, je veux rester Ici.
Je décolle et tant pis
Si tu me crois sans vie.
Mon sort est cette délivrance
Venue trop tard quand j’y pense.
Mon corps n’est plus que ta souffrance,
Mais comprends bien, ça n’avait plus de sens.
A présent, je tourne,
Je tourne,
Je ne suis plus rien du tout.
Plus je tourne,
Plus je tourne,
Plus je fais partie du Tout.
Malgré mes incertitudes, je voulais ce lendemain,
Et de ce douloureux passage réussir l’examen.
Et enfin...
Je m’envole, je deviens le Silence.
Je décolle et de deviens l’Immense.
Après mon corps et sans remords,
Ma vie alors a pris un sens.
P'tit Bob
Dors encore
Enfant d'innocence,
Rêve de contes imaginaires.
Ephémères.
Tant qu'il est encore temps,
Car plus tard...
... Mais trop tard !
Ignore encore
L'enfant de violence,
Rêves de honte nucléaire.
Ephémère.
Tant qu'il est encore tant,
Car plus tard...
... Trop tard !
Profite,
Mon enfant.
Il est encore temps.
... Vite !!!
Texte et photo : P'tit Bob
Le Roi de la Pop a rejoint Peter Pan et son univers.
Loin des commentaires et des fantasmes qui ont circulé sur lui,
seuls son art et son talent ont leur place ici pour le modeste hommage que je tiens à rendre à Michael Jackson.
Et pour ce faire, je vous propose
HEAL THE WORLD
un de mes titres préférés de Michael.
On retrouve dans les images touchantes de ce clip,
le regard et l'âme de l'enfance qui n'aura jamais quitté cet homme
et les armes de guerre qui, comme les rumeurs et les accusations les plus infames, peuvent toucher au plus profond de l'être
et mener à la mort...
Et bien sûr, il y a tout l'immense talent indéniable de l'artiste.
Bye Michael, l'immortel.
Bon voyage Bambi.