Une partie de l'âme de l'humanité vient de s'envoler.
Aucun mot ne peuvent être à la hauteur de sa vie et de son combat.
Un nom vient de se graver à jamais sur le marbre de l'Histoire.
Bon voyage, Madiba.
Total respect.
Paix à son âme
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Oscar
Cookie
Une partie de l'âme de l'humanité vient de s'envoler.
Aucun mot ne peuvent être à la hauteur de sa vie et de son combat.
Un nom vient de se graver à jamais sur le marbre de l'Histoire.
Bon voyage, Madiba.
Total respect.
Paix à son âme
A la caisse d'un super marché, une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche alors de ne pas se mettre à " l'écologie " et lui dit :
"Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources! "
La vieille femme s'est excusée auprès de la caissière et a expliqué :
" Je suis désolée, nous n'avions pas de mouvement écologique dans mon temps."
Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta :
" Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps! "
La vieille dame admît qu'à l'époque,
on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de soda et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
De mon temps,
on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu'à l'épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l'époque,
on lavait les couches de bébé; on ne connaissait pas les couches jetables ;
on faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000 watts à l'heure ;
on utilisait l'énergie du vent et du soleil pour sécher les vêtements.
À l'époque,
on n'avait qu'une télé ou une radio dans la maison; pas une télé dans chaque chambre, de même pour le téléphone.
Dans la cuisine,
on s'activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servies, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
À l'époque,
on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon ; on n'avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées. On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l'époque,
On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif ; on n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu'on voulait prendre de l'eau.
On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l'époque,
Les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.
Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE SUER AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE
Texte et illustration : auteurs inconnus - Source : internet
Surgissant de nullepart,
un train d'antan passe dans la ville de nos aujourd'huis...
Traversant les ans et les technologies,
il nous emmene avec lui, nous, simples passants,
dans le silence, la patience et la quiétude
des murs de nos quotidiens.
Des murs qui sont là pour,
plutôt qu'une grisaille urbaine commune,
nous détourner d'un train-train quotidien qui nous empêche
de les voir vraiment.
Murs qui nous rappellent aussi
que le confort que nous avons aujourd'hui
est le fruit d'un travail passé qu'il faut honorer
et ne pas simplement se satisfaire des acquis
sans reconnaissance.
Quand le regard d'un homme des pinceaux d'hier,
du coin de l'oeil,
regarde passer les humains d'aujourd'hui,
c'est la magie de la résurrection de nos murs.
_______________________________________________________
La résurrection des murs n°1 :
http://maktoub.over-blog.net/article-31676882.html
La résurrection des murs n°2 :
http://maktoub.over-blog.net/article-la-resurrection-des-murs-2-57253418.html
Nous nous étions perdus de vue.
La vie en avait décidé ainsi.
Nous voilà perdus de vie.
Aujourd'hui, tu en as décidé ainsi.
Alors puisque ta vie n'est plus ici,
Puisque tu pars...
Je garderai en moi, tous nos souvenirs d'enfance.
Tes yeux si bleus et ton sourire radieux.
Bon voyage.
Dis bonjour à Mémé pour moi, je l'aime tant.
Paix à ton âme.
A jamais, pour toujours
Je t'embrasse.
Le reste t'appartient.
Mais je suis triste, tu sais.
Que cette nouvelle année qui nous prend dans ses bras soit une année remplie de sourires.
Sourires reçus. Sourires offerts.
Sourires partages. Sourires gratuits.
Les sourires sont une des clés qui nous permettent de percevoir plus aisément
tous ces petits bonheurs du quotidien
que je vous souhaite tout au long de 2011.
Et plus loin encore.
Sourire change votre regard sur le monde et sur les gens qui nous entourent.
Bonne année à tous ceux qui marchent à la croisée des chemins de Maktoub.
Je ne vous souhaite que le meilleur et plus encore.
Prenez soin de vous,
extérieurement, intérieurement
et spirituellement.
N'oubliez pas d'être heureux.
BONNE ANNEE
Bob
Photos "sourires" : P'tit Bob
Aujourd'hui, je souhaite partager avec vous un site que j'ai découvert il y a peu de temps. Il s'agit du site d'un photographe, Alain Herrault. Ses photos sont de pures merveilles et son, entre autres, une invitation au coeur des Alpes. Puisqu'il me semble que tout mot serait inutile, superflu et pas à la hauteur de la beauté offerte par ses clichés, je vous laisse découvrir le bonheur d'un voyage inatendu plein de naturel, de réalisme, de poésie et d'oxygène. Et ce n'est là qu'un échantillon pas forcément représentatif de la palette de cet artiste. En effet, puisque la neige à fait son retour depuis quelques jours, je n'ai choisi que quelques paysages de saison. Je pense que vous ne serez pas déçus. Regardez :
Dorénavant, vous trouverez l'adresse ce ce blog dans la rubrique "Liens".
Mais pour le visiter sans attendre, cliquez sur la photo ci-dessous :
Encore une fois, je suis touché par les marques de sympathies et d'intérêts que je reçois parfois de personnes qui traversent mon blog comme on traverse un chemin de campagne, un peu par hasard.
J'en ai déjà parlé ici même mais j'ai envie de revenir vers ces regards qui parcourent mes photos et lisent les mots que je sème à la volée. Mon but est avant tout le plaisir. Le mien certes, mais aussi le vôtre. Très modestement. Parce qu'une photo m'a plu, parce qu'un texte m'a touché, parce qu'une citation m'a fait réfléchir, voire méditer.
Pour le partage.
Je reçois directement, et principalement, des emails sur ma boite personnelle. (J'en profite d'ailleurs pour faire un coucou particulier à Cora et à Magalie que j'embrasse et qui m'avaient aussi envoyé plusieurs mails emplis de gentillesse et de sympathie) Et aussi quelques commentaires laissés après telle ou telle note.
Si je vous dis cela aujourd'hui, c'est encore une fois pour vous remercier tous d'être là, juste de passage ou fidèles à mes petits rendez vous de tout p'tit bloggeur.
Ce que j'aime aussi c'est le fait que derrière certains messages que je reçois, il n'y a souvent qu'un pseudonyme. Je ne sais pas s'il s'agit d'un homme ou d'une femme. Ni son âge, sa couleur de peau et sa condition sociale. Je ne sais pas non plus de quel pays on m'écrit. Peut-être est-ce un proche voisin ? Peut-être est-ce une âme du bout du monde ? Je trouve cela très bien. Car avant tout, c'est l'être humain qui m'importe. Cet être humain qui devrait primer à chaque instant de notre quotidien.
Parfois, dans cette société où tout le monde semble se déchirer, s'épier, se méfier et envier son semblable, j'ai l'impression que mon discours est malheureusement dépassé. Que mes rêves ne sont qu'illusions, et je perds confiance. Jusqu'à douter même de l'existence de mon blog.
Alors vos mots me redonnent confiance. Ils sont comme autant d'auplaudissements muets qui me vont droit au coeur. Et je me dis alors que ces gouttes d'eau que j'ébroue du bout des doigts et souvent du bout du coeur ne sont peut-être pas vraiment vaines. Puisque vous êtes là. Alors je continue.
Et je vous remercie.
Ce qui m'a donner l'envie de vous dire cela aujourd'hui, ce sont les mots que m'a écrit C.S. à travers deux commentaires. Et comme je viens de le dire, peu importe qui est C.S. Je ne sais pas comment cette personne est venue sur Maktoub mais elle y est venue. C'est l'essentiel. Et si elle a pris le temps de me laisser ces commentaires c'est qu'un message, une émotion est passée. Une ressemblance aussi. Un partage. Oui, un partage. C'est avec l'être l'humain le plus important : partager.
Voici un extrait des ces commentaires :
"Mais qui êtes-vous P'tit Bob ? Un troubadour ? Par votre blog, la Tunisie devient un poème (...) "c'est la première fois que je laisse un commentaire sur un blog, c'est vous dire comme il m'a touché (...) "Votre blog empreint de spiritualité est un apaisement total. Il amène à la réflexion également. Les photos nous transportent dans un autre monde sans bouger de chez soi. J'ai mangé vos recettes de yeux. Vous permettez à un met aussi humble ue le flan d'être une star (...) Longue vie à votre blog qui a le mérite d'apporter de la beauté de la douceur et de l'amour pour l'humanité."
Comment rester insensible à ces mots qui me vont droit au coeur et qui, le temps d'un instant, me font penser que, dans le fond, peut-être que Maktoub a une raison d'exister.
Alors mille mercis à C.S. et à tous ceux qui passent sur le chemin de mon blog et qui laissent ou non de petits cailloux blancs.
A bientôt.
Je vous aime.
P'tit Bob
Certains portaient déjà hauts leurs couleurs...
Tandis que d'autres se languissaient sous la sueur grise de la ville.
Aujourd'hui, plus de jaloux...
Ils rivalisent ensemble, face à face, comme des tableaux dans la galerie d'un musée.
Et pour le plaisir des yeux des passants
Retrouvez "La résurrection des murs (1)" en cliquant sur l'image ci-dessous
Les vacances sont terminées et la rentrée a déjà quelques jours.
J'ai traversé la mer dans l'autre sens pour laissé momentanément
les contrées tunisiennes derrière moi.
Je sais qu'elles m'attendent et espère ne pas les faire languir trop longtemps.
Ce fut un été chaud.
Trés chaud... Trop chaud.
Malgré la chaleur écrassante et palpable, au coin de chaque rue, peureux ou paresseux
à l'affut ou lassifs,
de nombreux chats de hasard ont jalonné mes virées estivales.
Le temps d'une caresse, d'un sursaut, d'un regard, d'une méfiance,
d'une fuite, d'un silence,
aujourd'hui, ils viennent ici jusqu'à vous pour vous saluer à leur façon énigmatique, suaves, distante, sauvage, douce et féline comme je les aime.
Ce fut un été chaud...
Un été... chats.