"Le bonheur n'a pas d'histoire"
Byron Katie
Pourtant, j'ai la chance immense de pouvoir dire que mon histoire est mon bonheur.
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Oscar
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"Le bonheur n'a pas d'histoire"
Byron Katie
Pourtant, j'ai la chance immense de pouvoir dire que mon histoire est mon bonheur.
Les osbanes sont, en quelques sortes une espèce d’andouillette tunisienne. Quoique seule leur forme nourrit cette comparaison. Ainsi que le fait qu’elle soit une préparation à base d’abats.
Cette recette prend pas mal de temps mais constitue un plat complet.
Pour commencer, la veille, faite tremper des pois chiches secs dans de l’eau.
Puis direction, le marché pour avoir des produits frais, tant côté viandes que légumes.
Plutôt que d’énumérer la liste des ingrédients qu’il vous faut pour préparer vos osbanes, je vous laisse les découvrir au fur et à mesure du déroulement de la recette. Quant aux quantités, je vous laisse les juger par vous même car personnellement je fais cette recette sans proportions fixes et précises.
Pour commencer, lavez, égouttez et hachez pas trop finement des épinards frais, du persil plat, des feuilles de céleris branche, des oignons et de l’ail. Vous pouvez aussi, si vous le souhaitez, ajouter de la coriandre fraîche.
Mettez le tout dans un grand plat assez large.
Faites cuire les pois chiches dans de l’eau salée avec un peu de cumin.
Passons à la viande, de bœuf ou d’agneau selon vos préférences ou votre envie. Il vous faut : du foie, du cœur, un assortiment de tripes que vous couperez en petits morceaux d’environ un centimètre. Ajoutez les dans le plat avec les légumes.
Mélangez bien le tout à pleines mains. Puis assaisonnez généreusement avec de la coriandre en poudre (tabel), un peu de cumin et de curcuma. Salez et poivrez. Mélangez à nouveau à la main.
Vous aurez également acheté de la panse d’agneau. Découpez y des carrés et pliez-les en deux.
Allez chercher votre boite à couture. Non pas pour faire une pause ou pour changer d’activité, mais parce que vous allez avoir besoin de fil et d’une aiguille avec lesquels vous allez coudre les morceaux de panse sur deux côtés de façon à former des poches.
Cette étape indispensable terminée, farcissez vos poches de panse avec la farce à la viande que vous venez de préparer. Ne remplissez pas jusqu’au bord, laissez environ deux centimètres de panse car la préparation va gonfler et risquerait de faire éclater vos osbanes à la cuisson.
Au fur et à mesure que vous remplissez vos poches, fermez les par une couture avec le fil et l’aiguille. C’est un petit travail délicat qui termine la formation de vos osbanes. Il est inutile de faire des points trop serrés et appliqués.
Une fois que toutes vos osbanes sont terminées, préparez un couscous comme vous avez l’habitude de le faire mais sans viande. C’est effectivement avec un couscous que ces "andouilettes" tunisiennes sont très fréquemment servies. Dans votre bouillon en ébullition, glissez y délicatement vos osbanes une à une. Laissez cuire une bonne heure.
Servez bien chaud.
Avant de mangez sa osbane, chacun tirera sur le fil pour l’enlever.
Bon appétit.
Si vous avez plus de osbanes que nécessaire, crues, vous pouvez les déposer sur une plaque ou un plateau, en évitant qu’elles se touchent les unes aux autres et mettez le tout au congélateur. Une fois congelées, prenez les osbanes une par une et mettez dans un sachet de congélation. Ainsi, lorsque vous aurez envie d’en préparer, vous n’aurez qu’à prendre le nombre de osbanes qu’il vous faut sans qu’elle ne soient "collées" les une aux autres. Vous les plongerez encore congelées dans votre bouillon chaud et prolongerez la cuisson d’une vingtaine de minutes.
Cette recette étant assez longue à préparer, il est agréable d’en faire un peu plus et de les congeler pour en avoir aisement à disposition dès que l’envie d’en manger viendra.
Sans l'expérience vecue des contraires,
il ne saurait y avoir d'expérience de la totalité.
Carl Gustav Jung
On lit et l'on entend un peu de partout que ce film est très bien. Les compliments et les critiques positives fusent à la fois des professionnels du cinéma et du public. Alors je me méfiais un peu car souvent on s'attend à un chef d'oeuvre et on en ressort un peu déçu.
Malgrè tout, je suis allé voir "INTOUCHABLES", un film d'Eric Toledano et Olivier Nakache.
Et je n'ai pas été déçu. Loin de là. Les critiques sont justifiées. C'est un film magique.
Magique parce, dans une simplicité déconcertante, nous pleurons... de rire. Pourtant le sujet n'est pas drôle en soi. Et à travers nos rires, simultanément, l'émotion nous prend aussi. Un sentiment étrange mais tellement agréable et fort.
L'histoire est celle d'une rencontre. La rencontre de deux hommes que tout semble séparer. Le milieu social et culturel, la couleur de peau, la façon de s'exprimer...
Driss vit en banlieue, cette banlieue dont on nous montre que le négatif...
Philippe vit dans un milieu de bourgeoisie et d'aisance financière dont on nous montre que le positif...
Ce qui va les faire se rencontrer est l'état de santé de Philippe qui, à la suite d'un accident, vit dans un fauteuil roulant.
Driss va ensoleillé la vie de Philippe par son naturel, son humour et son franc-parler.
En s'abandonnant dans la confiance envers lui, Philppe va ouvrir plusieurs portes, jusque là fermée, de la vie de Driss...
Leur vie à chacun alors va changer.
Je ne crois pas au hasard.
Je ne crois pas que tous les jeunes issus des cités soient des incapables.
Je crois que chaque évènement de la vie qui peut sembler négatif peut être une porte vers le bonheur.
Je crois à la chance qui est offerte à chacun et qu'il nous appartient de la saisir.
Je crois à la tolérence, à la positivité et à l'ouverture d'esprit.
Je crois à la force des échanges et du partages des différences.
Je crois en la force de l'humour.
Je crois en la force de l'amour.
Il y a tout cela dans ce film. Tout ce que j'aime.Alors focément, je l'ai beaucoup aimé.
Côté cinématographique, encore une fois, François Cluzet est au-delà des mots. Ses yeux, son corps, sa peau font passer les sentiments, les douleurs et les plaisirs. Il joue avec son âme. Il nous prouve encore une fois ici qu'il est un très grand acteur.
Et il y a la révélation dont tout le monde parle à juste titre : Omar Sy. Que dire ? Il est surprenant tout en gardant à la fois, derrière une indéniable sensibilité, cet humour qui le caractérise. C'est un grand acteur aussi. On reparlera de lui, c'est certain. Et ce qui m'a surpris, c'est la façon dont il capte la lumière et passe extraordinairement bien sur le grand écran.
Le senario et les dialogues aussi sont forts, justes et nous emmenent, je l'ai déjà dit, entre larmes d'émotion et larmes de rires.
Alors vous pouvez écouter les critiques, vous pouvez écouter vos amis qui ont vu ce film, mais allez voir "Intouchables" pour ressentir l'émotion et pour les cascades de rires qui s'enchainent. Et capter le message social et humain qui se cache derrière tout cela.
La bande annonce :
A la caisse d'un super marché, une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche alors de ne pas se mettre à " l'écologie " et lui dit :
"Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources! "
La vieille femme s'est excusée auprès de la caissière et a expliqué :
" Je suis désolée, nous n'avions pas de mouvement écologique dans mon temps."
Alors qu'elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta :
" Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps! "
La vieille dame admît qu'à l'époque,
on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de soda et de bière au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises. À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
De mon temps,
on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu'à l'épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l'époque,
on lavait les couches de bébé; on ne connaissait pas les couches jetables ;
on faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000 watts à l'heure ;
on utilisait l'énergie du vent et du soleil pour sécher les vêtements.
À l'époque,
on n'avait qu'une télé ou une radio dans la maison; pas une télé dans chaque chambre, de même pour le téléphone.
Dans la cuisine,
on s'activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servies, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
À l'époque,
on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon ; on n'avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées. On travaillait physiquement ; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l'époque,
On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif ; on n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu'on voulait prendre de l'eau.
On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l'époque,
Les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l'école au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.
Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multi-prises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE SUER AVEC TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE
Texte et illustration : auteurs inconnus - Source : internet
Souviens-toi.
La compassion est l’une des formes silencieuses du bonheur.
Elle te permet de tisser des liens d’or, entre toi et les autres,
de donner à ta joie des horizons plus grands, plus vastes.
Le bonheur n’enferme pas, il libère.
Dugpa Rimpoche
Surgissant de nullepart,
un train d'antan passe dans la ville de nos aujourd'huis...
Traversant les ans et les technologies,
il nous emmene avec lui, nous, simples passants,
dans le silence, la patience et la quiétude
des murs de nos quotidiens.
Des murs qui sont là pour,
plutôt qu'une grisaille urbaine commune,
nous détourner d'un train-train quotidien qui nous empêche
de les voir vraiment.
Murs qui nous rappellent aussi
que le confort que nous avons aujourd'hui
est le fruit d'un travail passé qu'il faut honorer
et ne pas simplement se satisfaire des acquis
sans reconnaissance.
Quand le regard d'un homme des pinceaux d'hier,
du coin de l'oeil,
regarde passer les humains d'aujourd'hui,
c'est la magie de la résurrection de nos murs.
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La résurrection des murs n°1 :
http://maktoub.over-blog.net/article-31676882.html
La résurrection des murs n°2 :
http://maktoub.over-blog.net/article-la-resurrection-des-murs-2-57253418.html
Quand je vois que je ne suis rien,
C'est la sagesse.
Quand je vois que je suis tout,
C'est l'amour.
Et entre les deux, ma vie s'écoule.
Nisargadatt Maharaj
Ne vous imaginez pas que l'Amour, pour être vrai, doit être extraordinaire.
Ce dont on a besoin c'est de continuer à aimer.
Comment une lampe brille-t-ele, si ce n'est pas par l'apport continuel de petites gouttes d'huile ? Qu'il n'y ait plus de gouttes d'huile, il n'y aura plus de lumière (...)
Mes amis, que sont ces gouttes d'huile dans nos lampes ?
Elles sont les petites choses de la vie de tous les jours : la joie, la générosité, les petites paroles de bonté, l'humilité et la patience, simplement aussi une pensée pour les autrezs, notre manière de faire silence, d'écouter, de regarder, de pardonner, de parler et d'agir.
Voilà les véritables gouttes d'Amour qui font brûler toute une vie d'une vive flamme.
Ne cherchez donc pas Dieu au loin ; il n'est pas que là-bas, il est en vous.
Entretenez bien la lampe...
Et vous verrez.
Mère Térésa
Illustration : Huile sur toile de Bai Wen Zhong
Sa mémoire s'évade,
mélange les dates du calendrier de ses souvenirs
et fait le mur de sa vie lui laissant en échange la souffrance de la vieillesse.
Et de l'ultime attente...
C'est bien triste.
Mieux vaut fuire plus vite que la mémoire infidèle,
plus profondément que les cicatrices de l'âge,
des regrêts,
et des nondits.
Ne plus attendre dans le néant de ses pensées passées
et s'installer dans l'ultime demeure qui sournoisement,
mais inéluctablement,
lui ouvre de plus en plus grands portes et fenêtres.
Comme un nouveau visage lui offirait enfin
le plus beau des sourires.